- 30 Novembre -

le match:

NOH @ OKC:

Enfin le retour du (presque) MVP de la saison dernière, Kevin Durant au sein du 5 majeur de Oklahoma. Le tandem KD (26 points et 11 rebonds) et Russell Westbrook (25 points et 11 passses décisives) se remet en marche et ils inscrivent en combiné 51 points pour leur équipe, ce qui représente 53,6% des points d'OKC à la fin du match (51/95). Autant dire que cette franchise ne peut se passer d'eux. En face hier soir il y avait une équipe en méforme, qui restait sur 4 défaites consécutives après avoir démarré sa saison en trombes, j'ai nommé les New Orleans Hornets.

A 5'50 du terme dans le dernier quart-temps, OKC a muselé l'attaque des Hornets (2/12) et s'offre 20 points d'avance, ce qui lui permet de voir venir. Pourtant il ne faut pas tomber dans la facilité car les joueurs de NO reviennent progressivement dans la partie. On a quand même l'impression le Thunder maîtrise son match et maintient l'écart. Ils se font tout de même surprendre par le jeu adverse. R. Westbrook inscrit 6 points consécutivement pour égaliser à 81 partout et continue d'appuyer là où ça fait mal. Il rentre un layup et un trois-points supplémentaires pour permettre au Thunder de reprendre 7 points d'avance dans la dernière ligne droite.
Chris Paul inscrit 17 points et réalise 14 passes et 5 interceptions pour porter ses Hornets durant le match. Pourtant rien ne m'empêchera de penser qu'il est bien seul dans son équipe, celui que l'on voyait comme un probable MVP en fin de saison. 4e défaite sur les 5 matchs pour lesquels les Hornets ont réalisé un départ dans le premier quart-temps de 11-1. 5ème défaite consécutive. NOH en crise ?

Victoire de OKC: 95-89


Alex's corner:

Washington @Miami: 2 équipes proches de la crise, des coachs en sursis.


le joueur:

Kevin Durant, qui pour son retour réalise un gros double double (26 points et 11 rebonds), permet avec l'aide de Russell Westbrook de prendre l'avantage sur les Hornets.


la stat:

9-0: Dallas est maintenant sur les traces de San Antonio avec un 9-0 en ratio victoire/défaite sur les 9 derniers matchs. 5 joueurs ou plus ont inscrit plus de 10 points hier soir. Nowitzki (20 points), Butler (19), Marion (14), J.J. Barea (11) and DeShawn Stevenson (10).


Etienne - P&R

Allen Iverson a.k.a "The Answer"

L'ex star des parquets américains a encore une fois, comme vous le savez tous, pris tout le monde à contre-pied en signant au Besiktas d'Istanbul (TUR).
Tout le monde se souvient de son crossover magistral sur Michael Jordan, lors de sa première saison NBA. Preuve de son talent il met à l'amende Air J et se joue de lui durant tout le match. Pourtant on connaît le talent de Jordan et ses quelques titres de meilleur défenseur de la NBA. Iverson inscrira 37 points ce soir là. L'image que tout le monde retiendra en définitive de ce match, c'est ce shoot wide open alors que Jordan cherche encore ses chaussures, perdues 2 secondes auparavant, scotchées au parquet.

Certains pensent qu'il s'est exilé, je le crois aussi. Partir loin d'un ligue qui le repousse, qui le met à la porte. Une ligue qui juge son style vestimentaire (jeans baggy, ses tatouages, ou ses bijoux), son ego surdimensionné ou encore ses caprices de "Diva". Pourtant il aura eu ses plus grandes heures sur les terrains américains. Meilleur joueur de la saison en 2001 (MVP), 2e meilleur marqueur en moyenne en playoffs, le 5e en saison, 4 fois meilleur marqueur (1999, 2001, 2002, 2005).

Aujourd'hui il a arrêté de faire rêver les dirigeants de franchise américaine mais il n'est pas oublié par ses ex-équipiers ni par ses fans. Les joueurs actuels de NBA pour les plus jeunes ont tous rêvé devant ses moves, sa technique et son style de shoot. Plusieurs le citent comme une référence pour eux: Derrick Rose, Beaubois, Pietrus (NBA) et même en France (comme moi).

Il signe à Besiktas un contrat de 2 millions d'euros pour "rejouer" et "se faire plaisir". Il martèle qu'il ne vient pas pour l'argent puisqu'il souligne en conférence de presse que de l'argent "il en a beaucoup". L'Europe se (re)met à rêver autour de se joueur qui fascine. On se prend au jeu, et surtout on espère qu'il va continuer à progresser dans ses statistiques et dans son show; Pour le premier match de sa saison il n'inscrit que 2 points (faible pour un retour), ses premiers en championnat turque. A son 4e match il réalise une performance notable: 14 points et 8 passes. S'il continue ainsi on pourrait retrouver le joueur du début des années 2000.

Rencontre importante pour son équipe ce soir sur un parquet français (ASVEL). On souhaite que les défenseurs ne seront pas intimidés face à ce colosse aux mains d'argent.

Alors un exil ? Oui certainement. Retrouver son plaisir ? On en doute pas. A-t-il encore la capacité de nous faire rêver ? On l'espère. A lui de nous donner sa réponse.


Petit souvenir




Etienne - P&R

- 29 novembre -

Et bien, que de spectacle ce week-end. On termine vraiment en beauté:

les matchs:

San Antonio @ NOH:
Voilà les deux franchises les plus impressionnantes qui s'affrontent. J'avais dit qu'il fallait surveiller le résultat. Car une des deux part du mauvais côté. Et ce sont les bleus-et-jaunes de la Nouvelle-Orléans qui enregistrent leur 4e défaite. Et à domicile. Tony Parker sort encore un match plutôt petit bras, même si on a bien aimé sa défense sur Chris Paul. Les deux joueurs se retrouvaient pour la première fois cette saison, et on sait qu'ils sont très amis. C'est CP3 qui avait déclaré à son arrivée dans la ligue professionnelle que son modèle, c'était Parker.
Gino, Jefferson et Duncan eux assurent. L'Argentin se fend de 23 points, 7 rebonds et 8 passes. On y ajoute les 21 points de Jefferson et 19 points, 7 rebonds de Duncan, et on a un big three qui fonctionne. Les Spurs rebondissent bien après leur défaite contre Dallas et sont désormais à 14-2.
Du côté des guêpes David West termine à 23 points et 7 rebonds, tandisqu'avec lui ce sont 5 joueurs qui affichent plus de 10 points inscrits. C'est insuffisant pour contrer les Spurs malgré tout. Chris Paul: 15 points, 7 passes.

Victoire de San Antonio: 109-95


Pacers @ Lakers:
Et bien. Dans le style David contre les Goliaths, c'est Indiana qui se fait plaisir. Et que l'on peut vraiment nommer surprise de ce début de saison. Les jaunards d'Indianapolis vont battre les Lakers en Californie (1e victoire de leur histoire dans le Staples Center), après avoir battu Miami en Floride. 24 points et 12 rebonds pour le prochain MIP Roy Hibbert, qui a complètement dominé la peinture. A ses côté, Granger finit avec 18 points.
En face, Kobe a tout fait. 41 points, mais deux fois il a raté le shoot pour égaliser dans les dix dernière secondes. Fait rare, deux ratés, et une défaite. Pau Gasol: 13 points 12 rebonds, et Odom: 15 points 11 rebonds.

Victoire de Indiana: 95-92


Alex's corner:

NY@Detroit
OKC@Houston
Phoenix@Denver (celui là est encore au dessus)


les joueurs:

Josh Smith:
le All-Star d'Atlanta rentre chez lui avec un triple-double dans le match qui opposait les Raptors aux Hawks. 12 points, 13 rebonds et 10 passes. Il a très peu scoré, mais il faut vraiment saisir la puissance de ces stats. Les 10 passes sont toujours faites dans le bon tempo. La victoire était claire et nette, pas besoin de trop scorer pour Josh Smoove. 3e triple-double de sa carrière.

Blake Griffin:
malgré la défaite le rookie des Clippers est là: 35 points, 14 rebonds. Seon équipe possédait plus de 10 points d'avance, mais le Jazz est un spécialiste des retours en force, et va s'imposer dans la salle des Clippers.


la phrase:

"It was just an old-school whipping from a coaching standpoint." Monty Williams. Le coach des Hornets commente ici la défaite de son équipe face aux Spurs.


JB - P&R

- 28 Novembre -

le match

Memphis @ Cavaliers

Hickson rebondit après plusieurs matchs délicats, Joey Graham inscrit 12 points et Anderson Varejao ajoute 11 points à la performance des Cleveland Cavaliers, qui ont amélioré leur ratio victoires/défaites à 7/9 pour leur première saison sans le double MVP Lebron James. Cet homme avait d'ailleurs l'habitude de tout donner et de tout faire pour son équipe, le Cleveland actuel doit trouver quelqu'un pour le remplacer et jouer ce rôle. Williams se sent capable de le faire. Il veut prendre l'ancien rôle de Lebron James.
Memphis n'inscrit que 35 petits points durant la seconde mi-temps, ce qui est probablement dû à de la fatigue, puisque les joueurs ne sont arrivés à Cleveland qu'à 4 heures du matin, après leur match du Vendredi soir. Avec un score de parité (84-84) Williams rentre un 3-points face au panier, et après un raté de Memphis, il traverse la défense adversaire et sert Hickson pour un layup facile amenant le score à 89-84, il ne reste que 29 secondes à jouer.
Williams inscrit 25 points (dont 18 dans la seconde période) et réalise son record de passes décisives cette saison (12), J.J. Hickson ajoute 16 points, et les Cavaliers réalise une attaque éclair leur permettant dans les derniers instants de l'emporter 92-86 contre les Grizzlies.

Victoire de Cleveland 92 - 86


Alex's corner:

Miami @ Dallas : deux grands, deux vainqueurs, deux prétendants. Miami en reconquête de ses supporters et Dallas qui surfe sur sa victoire d'avant hier soir contre les Spurs, mettant ainsi fin à leur rêve de record. Who's the best ?


les joueurs:

Howard et Arenas durant le match qui opposait les Magics aux Wizards. Le premier se fend de 32 points et de 11 rebonds permettant aux siens de l'emporter en fin de match, et le second rends une carte très honorable, 31 points et 5 passes tenant son équipe à bout de bras, ce qui ne suffit pas à dominer Orlando (99-100 au terme du match).


la stat:

75% et 9/12: nouveau record à 3-points pour la franchise de Golden State et de D.Wright (30pts). Le joueur inscrit 9 trois points pour permettre à son équipe de prendre l'avantage bien aidé en cela par M. Ellis qui lui est complet comme à son habitude, 26 points - 10 passes décisives - et 7 interceptions.


la phrase:

"I just wanted to give a spark. When I was out and watching I was able to see what we needed, and that's a spark and some points. If we want to be honest, we don't score enough points. That's why we haven't been winning those games. So I was just trying to give what we need in every area." Chris Douglas-Roberts

"Je voulais juste apporter cette petite étincelle supplémentaire. Lorsque j'étais blessé, sur le banc et que je pouvais observer ce dont nous avions besoin, je me suis dit une étincelle et des points. Si nous voulons être honnêtes, nous ne marquons pas assez de points. J'ai juste essayé de tout donner dans tous les compartiments du jeu." Chris Douglas-Roberts.
CDR avait manqué les 15 premiers matchs de son équipe en 2010/2011 à cause d'une blessure à l'oeil. Il a joué hier soir 19'44 et a inscrit 11 points.


les frenchies:

- Diaw: 7pts, 6rbds, 4ast
- Pietrus: 3pts, 7rbds
- Noah: 17pts, 8rbds, 5ast
- Turiaf: 2pts, 1rbds


le top 10 de samedi soir:





Etienne - P&R

San Antonio, ou la success-story saison 11

Depuis un mois, une équipe s'éclate sans faire de bruit. Les phénomènes Atlanta et New-Orleans, la parlote sans issue à propos de Miami (attendons un peu...) ou des Lakers, la tempête Blake Griffin. Tout cela a empêché San Antonio de faire parler de lui. Pourtant c'est bien un début de saison formidable que font les Spurs. Leur (presque) record de victoires, de meilleur départ en saison, est à l'image de leur sobriété médiatique, impressionant.
Quelles sont les clés d'un tel succès ?

Le collectif:
C'est simple. San Antonio joue à merveille sans joueur déterminant. Ginobili est revenu à son meilleur niveau (21.5 points, 5 passes), Jefferson revient aussi à un bon niveau. Tony Parker (18.7 points, 7.3 passes), malgré toutes ses histoires extra-sportives (tout ceci ne nous regarde pas) est au top de sa forme. Un contrat de 50 millions, et l'investissement est déjà payant pour la direction des Spurs. Le banc aussi est à son niveau, comprenant George Hill, McDyess, Thiago Splitter ou Matt Bonner. Pas de gros calibre mais ce banc est toujours prêt, toujours performant. Seul bémol au collectif, Tim Duncan (13.5 points et 9 rebonds). Il reste un peu en retrait, usé par ses nombreuses années au sein de l'élite nord-américaine, mais est quand même le point d'appui du collectif.

l'attaque:
107 points inscrits par match, troisième meilleure attaque de la ligue, derrière Phoenix et les Lakers. 3e les Spurs ? Comment serait-ce possible ? Le collectif, ici encore, est la raison principale d'autant de jeu offensif. C'est Ginobili qui sonne la charge à chaque fois. Leurs victoires se font toujours de +5/+10 et la longueur de banc leur permet de faire tourner et de trouver des nouvelles solutions, comme cette nuit (contre Dallas, 2e défaite de la saison) avec George Hill (21 points). Les systèmes sont nombreux, et il faut souligner que Poppovich joue le coup à fond. Finit les temps de défense drastique et de manque de spectacle. Gino et les siens ont carte blanche. La preuve, ils encaissent plus de points que ces dix dernières saisons (99 points encaissés par match). Ils défendent moins en ce début de saison, mais à quoi bon ? 13 victoires, dont douze de rang. On ne peut leur reprocher.

la confiance:
Les joueurs sont tous amis, la confiance qu'ils s'accordent entre partenaires est donc illimitée. Ils se connaissent depuis de longues années. Pour ce qui est du trio magique, cela fait 9 ans qu'ils se côtoient. George Hill ou Matt Bonner aussi se baladent du côté du texas depuis quelques temps. Du coup, Jefferson ou Blair, arrivés à l'été 2009, ou Splitter (2010) se sente à leur place. Pourquoi pas la saison dernière ? 7e en saison régulière, les Spurs faisaient jouer Gino ou Parker en sortie de banc, comptant alors sur eux pour faire exploser les défenses adverses. Puis TP s'est blessé. A son retour San Antonio tape Dallas au premier tour de Playoffs. Pas trop mal quand même. Ils enchainent 12 victoires en près d'un mois. La confiance dans le jeu se lit dans les actions des Spurs. Gino, Parker, Jefferson percutent non-stop. Ils shootent, comptant pour la première fois sur leur adresse. Qui a rarement été aussi élevée. 46%, et 42.6% à 3 points...

Alors forcément, ils ont perdus cette nuit, mais c'est contre Dallas, la franchise qui stoppe toute les séries (NO & SAS à l'extérieur à chaque fois). TP a fait un petit match, mais sort d'un mois excellent. Et demain, autre test, ils jouent New-Orleans justement. Il va falloir suivre cette rencontre pour analyser quel chemin prend chacune de ces deux équipes.

Donc pas de "MVP-potential", mais un "title-potential" à coup sûr !


Jb - P&R

- 27 Novembre -

le match:

Dallas @ SAS

Les Mavs retournait à San Antonio pour la première fois depuis leur fin de saison dernière durant le match 6 du premier tour des playoffs perdu. Dallas était notamment vu comme un adversaire redoutable pour les Los Angeles Lakers à l'Ouest, mais ils ne réussirent pas à passer le premier tour. C'était hier soir le premier derby texan de la saison 2010/2011.

Le banc de Dallas s'est vu étouffé durant les trois premiers quart-temps, mais il réservait une grosse surprise à San Antonio pour le dernier quart-temps. Il inscrit un run 21 - 9 mené d'ailleurs par Jason Terry et Shawn Marion, remplaçants de luxe. Ils inscrivent à eux deux, 19 points et réalisent 4 passes décisives. Sur cet élan les Mavs inscrivent 32 points dans le 4e. Shawn Marion réalise 11 de ses 19 points dans ce quart-temps, rentrant le 3-points qui permet à Dallas de prendre le "leadership" pour de bon cette fois. Tyson Chandler se démène dans la raquette provoquant des fautes successives. Il inscrit 19 points et, pratiquement tous derrière la ligne des lancers. Justement cet homme a un pourcentage en carrière de 62% aux lancers, fait ses premiers pas dans la longue histoire des derbys texans. Il convertit donc 13 de ses 16 lancers.
Avec 13-2 les Spurs ont toujours le record du meilleur départ en NBA, mais perdent de fait le record de victoires consécutives depuis trois saisons. Prochaine échéance pour San Antonio, NOH, seule autre équipe qui ait vaincu les Spurs cette saison (1er match de l'année).

La franchise de Tony et Manu est rentrée Vendredi dans l'histoire en tant que deuxième équipe avec le plus haut total de points inscrits en NBA, et une moyenne de 108 points par match, leur meilleure moyenne depuis la saison 1987-88.
Nowitzki fait un gros match 26pts et 8rbds, Ginobili est "leader scorer" avec ses 31 points et 4 passes décisives, Duncan joue petit bras (15pts et 8rbds) tout comme TP (9pts, 4rbds, 1passe décisive).

Victoire de Dallas 103-94


Alex's corner:

Los Angeles Lakers @ Utah Jazz

pas d'indice sur le jeu, mais une très belle rencontre avec deux équipes en confiance récemment puisque les Jazz restent sur trois victoires consécutives, tandis que les Lakers ramassent tout le monde récemment, n'ayant concédé que 2 défaites pour le moment.


les hommes:

Carmelo Anthony (22pts - 6rbds - 8ast) et C.J Watson (33pts - 3rbds - 3ast - 2stl) ont enflammé le parquet de Denver hier soir. Le premier cité offre la victoire aux siens sur un shoot au buzzer à la limite de la ligne à 3-points, et le second a été le remplaçant de luxe de Derrick Rose haussant son niveau de jeu aux performances régulières du titulaire indiscutable.


la stat:

54.12%: Dwight Howard termine son match avec 13 sur 24 à la ligne des lancers (54.12%) ce qui n'est pas si mal pour un intérieur. Mais là ou cela devient cocasse c'est lorsque un joueur réalise plus de lancers que l'équipe adverse. Cleveland et son équipe réalisent 12 de leurs 20 lancers-francs (60%).


la phrase:

"I haven't beat the Lakers in probably six years, it felt like a playoff game. ... We fought back. We didn't give up." Jefferson

"Je n'ai pas battu les Lakers depuis près de 6 ans. J'ai ressenti ce match comme si c'était les playoffs. On s'est bagarré et on a rendu coup pour coup. On a pas abandonné" Jefferson à propos du match LAL @ Utah.
Il n'a pas battu les Lakers depuis en fait sa saison de Rookie en Mars 2005. Il joue maintenant à Utah après avoir été transféré en provenance de Minnesota.

A-t-il vaincu sa bête noire ? à regarder !!


les frenchies:

- Diaw: 20pts - 10rbds - 2ast
- Pietrus: 5pts - 3rbds - 1ast
- Parker: 9pts - 4rbds - 1ast
- Noah: 17pts - 16rbds
- Batum: 5pts - 2ast - 3inter


Etienne - P&R

- 26 novembre -

Salut à tous ! Deux matchs au programme pour cette nuit de Thanksgiving, pendant laquelle de nombreux joueurs ont répondu aux appels des associations caritatives.

Les résultats de la nuit:

Washington@Atlanta: Washington n'a toujours pas gagné à l'extérieur et cette stat se confirme encore cette nuit. Grosse victoire d'Atlanta avec Josh Smith qui inscrit un double double à son tableau de chasse. 20 points et 13 rebonds, bien aidé par Jamal Crawford qui inscrit 14 points en sortie de banc. Atlanta arrêté ainsi une série de défaites, mais il faut le souligner, contre un adversaire plus faible que lui. JaVale McGee et Andray Blatche se sont fait bouffés à l'intérieur, ce qui a permit à Kevin Séraphin de jouer 17 minutes (pour 6 points et 5 rebonds)

Sacramento@Clippers: encore un match facile pour Blake Griffin qui sans véritable opposition a inscrit un autre double double. Dans le combat à distance qu'il mène pour le titre de meilleur rookie contre John Wall, le petit Blake a pris de l'avance. 25 points et 13 rebonds pour lui dans la victoire facile des Clippers. On peut enfin parler pour l'équipe de Los Angeles de série de victoire (2).

- Magnifique -

Faites tirer ça en grand pour le mettre sur le mur de votre chambre !

- 25 Novembre -

le match de la nuit:

SAS@Minnesota:

Richard Jefferson inscrit dans le match 19 points et Tony Parker quant à lui en inscrit 18 et réalise six passes pour les Spurs, qui ont mené pour la première fois alors qu'il restait 49 secondes à jouer dans la prolongation. Cependant ils améliorent encore le record NBA à 13/1. Kevin Love se fend d'une très belle performance avec un match plein (32 points et 22 rebonds), Darko Milicic engrange 22 points, 8 rebonds et 5 contres pour les Wolves qui ont pour la troisième fois de la saison réussit à perdre l'avantage qu'ils avaient acquis durant les trois premiers quart-temps, à la fin du 4e, ce qui a permis aux Spurs de s'accrocher. Gary Neal, seul derrière la ligne à 3-points, rate le tir égalisateur mais un joueur de Minnesota fait faute sur lui. 3 lancers-francs, 16"5 à jouer. Égalisation à 106 partout. Statistique édifiante: San Antonio rate 17 de ses 19 premiers 3-points du match, mais Matt Bonner lance une pierre qui retombe comme une prière et donne l'avantage à son équipe pour la première fois. Le coach des Wolves Kurt Rambis soulignait la grosse performance de ses joueurs ce soir, la définissant comme le plus gros match de son équipe depuis le début de la saison, ce qui n'a pas empêché les joueurs d'être éffondrés dans les vestiaires. Les Spurs quant à eux améliorent le record, n'ayant perdu aucun match depuis la défaite 99-90 contre NOH, le 30 Octobre dernier, pratiquement un mois. Peut être que le fait de prendre les Wolves avec trop de confiance n'a pas permis aux joueurs de San Antonio d'exprimer leur véritable potentiel, durant les trois premiers quart-temps. Ils tirent sur cette période à 32.6% dans la première mi-temps et ratent 12 sur 13 tentatives à 3-points. Ginobili inscrit 14 de ses 26 points dans le 4e quart-temps pour rejoindre les Wolves et combler un trou de 21 points.

Victoire des Spurs 113-109 après prolongation.


les hommes forts:

Nowitzky (34pts - 4rbds - 4ast) / Rose (35pts - 12rbds - 7ast) / Kevin Love (32pts - 22rbds)


Alex's corner:

Chicago@Phoenix // NOH@Utah

Mais quels matchs, intensités, publics, déceptions et confirmations. Tout était rassemblé pour faire vibrer les spectateurs. Personnellement j'étais devant mon multi-viewing sur le "NBA league pass" et je dois dire que je me suis régalé, j'en ai pris plein les yeux.


la stat:

65: Les Raptors ont shooté à 65% à 13 sur 20 dans le premier quart-temps du match alors qu'ils passaient à une mène de 15 points dès le premier quart-temps ce qui a annihilé les efforts de Philadelphie pour rester das le match.


la phrase:

"I don't think there is anything missing. If I had the exact answer, then it would be easy to figure out . . . The guys know what it takes to win and once it gets going, then we will know what the difference is." James à propos du décevant 8-7 de Miami

"Je ne pense pas qu'il manque quelque chose. Si j'avais la réponse exacte, il serait facile de résoudre le problème...Les gars savent ce qu'il faut pour gagner et dès que les victoires s'enchaîneront nous serons ce qui a fait la différence" James


les Frenchies:

- Diaw: 11pts - 4rbds - 5ast
- Noah: 17pts - 15rbds - 5 ast
- Parker: 18pts - 3rbds - 6ast
- Turiaf: 2pts - 2rbds - 1stl
- Pietrus: 3pts - 1rbd - 1ast


A voir:

le shoot au buzzer de Cleveland pour s'imposer 83-81 contre Milwaukee.



Etienne - P&R

un mois après

Petite vidéo de Miami.

Sans analyse.

- 24 novembre -

le match:

Atlanta @ New-Jersey:
Au Prudential Center de New-Jersey, Atlanta voulait se venger d'une lourde défaite à domicile contre Boston. Après un ratio de 6-0, les Hawks restent sur un 2-6. New-Jersey est à 4-9 avec un roster encore en reconstruction, certains joueurs encore peu habitués aux façons de jouer de Delvin Harris et de Brook Lopez (Outlaw, Morrow, Favors, Farmar).
Rien à dire sur le match, les trois premiers-quarts sont à la faveur des Nets: entre +3 et +9, la franchise du New-Jersey limite la casse, et possède toujours deux possessions d'avance. Jusqu'au run des Hawks, à partir de la fin du 3e quart. C'est Joe Johnson qui, sur deux lancers-francs, égalise à 93-93. Avec 20 secondes à jouer, c'est Harris qui prend la balle, il attend, et après des dribbles difficiles où il s'emmêle les pinceaux, se retrouve à 3-points avec Josh Smith en défense. Une feinte, un shoot en déséquilibre, et le tir est trop long. Prolongations.
Mais là, c'est Delvin Harris qui va utiliser ces deux principales qualités: sa vitesse, et son shoot longue distance. Deux trois-points, un lay-up, et un passage en force provoqué en défense. 14-8 en 5 minutes pour les Nets, et donc une victoire 107-101.
Harris: 27 points, 9 passes, 43 minutes
Lopez: 32 points, 9 rebonds, 43 minutes
Smith: 20 points, 7 rebonds
Johnson: 16 points, 6 rebonds, 8 passes, 6/18 aux shoots
Crawford: 12 points en sortie de banc.


Alex's corner:

Philadelphia @ Washington.


les joueurs de la nuit:

Dirk Nowitzki:
42 points et 12 rebonds pour le géant allemand. 13/23 au shoot, il marque près de la moitié des points de son équipe lors de la victoire de Dallas contre Detroit à domicile. "Season-high" pour un maverick, et ça fait du bien. Dallas continue de bien défendre, de limiter à 90 points leurs adversaires, ce qui fait indéniablement leur force cette année, et ce qui est plutôt nouveau.

Toney Douglas:
22 points (8/12 dont 5/7 à 3-points) en 24 minutes de jeu et en sortie de banc. Il s'était perdu pendant deux semaines, ces deux mêmes semaines où NY avait enchaîné les défaites, assez lamentablement d'ailleurs. Il s'était endormi au point de sortir des classements de 6th man of the year. Contre Charlotte, il a profité d'excellentes passes de Raymond Felton et a pris sa chance derrière la ligne (victoire 110-107).


la stat:

24/25:
Nowitzki (15) et Terry (9) ont marqué 24 des 25 derniers points des Mavs dans ce match.


la phrase:

"A really terrific 27 hours of basketball for us." Jim O'Brien, coach des Pacers. Il a le droit d'apprécier ces 27 heures de basket, car les Pacers battent à domicile Cleveland. Victoire en "back-to-back" après celle à Miami. Indiana est en positif, 7v.-6d.

Cette nuit aux Etats-Unis

les matchs:

• Indiana@Miami: les Pacers prenaient leurs talents avec eux à South beach, et sont même aller humilier le Heat de Miami. 93-77 score final, la sanction est lourde. Pourtant c'est le Heat qui enregistrait le meilleur départ, 17-11 après 8 minutes de jeu, et un lay-up plus la faute de Dwyane Wade, puis 24-19 grâce à un shoot magnifique, le pied sur la ligne à 3-points, à -10°, au buzzer, de LeBron James (6/14 au shoot).Mais un peu comme à son habitude, la franchise floridienne s'endort en début de 2e quart-temps, et Indiana repasse devant, +4 +8 +11 +14 +17, ça n'en finit plus dans cette première mi-temps. Les Pacers s'éclatent, et jouent très bien collectivement. L'esprit d'équipe est là. Mais il n'est là qu'un match sur 12. Le banc d'Indiana a quand même mis 40 points, contre 4 pour son homologue floridien. Wade finira à 1/13, avec 3 points, et l'écart restera aux alentours des dix points pendant toute la deuxième mi-temps. James lui, 25 points et 6 passes au final. 21 points et 11 rebonds pour Chris Bosh. Eric Dampier arrive, dès aujourd'hui. Pour Indiana, Rush et Granger finissent à 20 points.

• NOH enregistre sa deuxième défaite, et cela se passe à Los Angeles. Chose surprenante, c'est contre les Clippers. La bataille s'est faite dans la dernière minute, qui a duré une éternité. Cela s'est joué aux lancers, avec Ariza qui déçoit et Eric Gordon qui s'en sort bien. Les Clippers stoppent une série de 9 défaites consécutives.

• San Antonio bat à domicile Orlando (106-97), passant donc à 11 victoires consécutives. Ils sont désormais à un bilan de 12-1, ce qui les place à la tête de la ligue toute entière. Mais arrive très très bientôt le derby contre Dallas. Il va envoyer du lourd celui là.

le joueur de la nuit:

Carmelo Anthony: 39 points, 17/17 aux lancers-francs, il bat à lui tout seul Golden State, alors que le match se jouait dans la baie de San Francisco. Il associe à cette belle performance 9 rebonds. Ses 17 lancers sont son meilleur total sans en rater un seul.


la phrase:

"This was very embarrassing. Very, very embarrassing. Very embarrassing. If I had one word to sum it up: embarrassing." Larry Drew, coach d'Atlanta. Il parle ici de la défaite de son équipe à domicile contre Boston. Plus qu'une défaite, c'est une gifle: 99-76 score final.

Petit topo

Pas trop de matchs, pas trop le temps, donc quelques petites nouvelles:

• Peja Stojakovic et Jerryd Bayless ont été envoyés à Toronto contre Jarett Jack, David Andersen et Marcus Banks. Le seul but de ce transfert est de conforter Chris Paul et d'apporter plus d'athlétisme et de consistance dans le roster de NOH.

• Udonis Haslem sera absent des terrains jusqu'au All-Star week-end. Il s'est blessé dans la nuit de vendredi au contact dans la raquette. Gros coup dur pour le Heat, qui n'a rien pour le remplacer. Haslem était le joueur idéal dans la raquette pour accompagner Bosh. Ils vont devoir tabler avec Joel Anthony et Ilgauskas, le premier étant inefficace en attaque, et ce dernier étant vraiment limité dans les minutes jouées. Ils cherchent donc un joueur à enrôler et pour pas grand chose. Eric Dampier ?

• On parle de transfert. Brook Lopez intéressait fortement les Nuggets, qui envisageaient alors d'envoyer Anthony vers l'Est. Info passée mais interessante pour comprendre la politique de Denver. Qui sait qu'Anthony restera jusqu'au bout de la saison, car il n'a aucun intérêt à partir avant.

• Cette nuit, Gasol fait 10/10 au shoot et 8/8 aux lancers, lors de la victoire des Lakers contre Golden State. Après Barkley (98) et Matt Barnes (il y a seulement deux jours) il est le troisième joueur à rendre une ligne de 20 points, 5 rebonds et 5 passes sans rien rater.

Gasol: 28 points, 9 rebonds, 5 passes décisives et 4 contres en 30 minutes !

• Petit mix Griffin allé:

BD productions34, merci !


Résultats de la nuit:

Boston @ Toronto: 101 - 102
Washington @ Detroit: 110 - 115
NOH @ Sacramento: 75 - 71
Golden State @ Lakers: 89 - 117

Avant d'aller dormir...

... il faut souligner la belle victoire de Toronto contre Boston. La franchise canadienne se sort des griffes des Celtics dans la dernière minute et dans sa salle.

Déjà, il est important de noter l'absence de Rajon Rondo, remplacé dans le 5 par Nate Robinson. Le nain plante 16 points dans le premier quart-temps et Boston arrive vite à +11 (31-20).
Ensuite, Toronto impose un run énorme à Boston et repasse devant dans le courant du deuxième quart-temps. C'est Bargnani qui permet à son équipe un tel retour. Sur un reverse lay-up, il obtient la faute en mettant le panier. Toronto finit l'action à +3 (55-52).
L'écart se creuse jusqu'au début du quatrième quart-temps, où, après un 3-points de Leandro Barbosa, les Raptors prennent jusqu'à 12 points d'avance ! Ray Allen score 6 points dans la même minute, sur deux "three-pointers" assassins. Boston repasse devant, +3 (97-94).
Avec 18 secondes à jouer, Boston est toujours devant (101-100). C'est maintenant que tout se joue car Leandro Barbosa touche la balle dans le dos de Ray Allen, Calderon récupère, et après un raté de Barbosa, c'est Nate Robinson qui fait faute sur Amir Johnson au rebond. Il met les deux lancers, un peu ric-rac, et Boston ne pourra rien faire. Paul Pierce prend le même shoot que Rudy Gay lors de la nuit dernière, mais est trop court, et Toronto peut célébrer sa victoire tranquille.

Boston (9v-4d.):
Robinson (22 points), Allen et Pierce (19 points) jouent les premiers rôles. Shaq est limité, 8 points en 19 minutes.

Toronto (5-9):
Bargnani (29 points) a joué pivot ! C'est une preuve de la petite taille du roster canadien. Les autres ? Weems et Johnson (16 et 17 points) viennent aider l'italien.

Score final: 102-101

- 21 Novembre -

le match:

- Miami @ Memphis

Lebron James égalise pour la 12e fois de la soirée grâce à un dunk sur une interception de Eddie House sur Rudy Gay alors qu'il ne reste que 5"5 à jouer. La dernière fois que Miami a mené dans ce match fut lorsque James transforma un "rainbow shoot" longue distance (90-87) avec 3'09 restantes. Mike Conley rentre un jump shoot tandis que les Grizzlies enchaînent 8 points consécutifs, conclus par un layup de Gay. Il ne reste que 38"5 à jouer, le Heat tente un dernier come-back. Bosh répond en rentrant un tir à 3-points avec la planche, puis House vole la balle à Gay pour le dunk égalisateur de LBJ.
Il ne reste qu'une poignée de secondes à jouer et Gay tient le sort du match entre ces mains. Tel Kobe Bryant, il s'exporte vers la ligne de fond et tente un "fadeaway jump shot". Ça rentre au buzzer, sur James et juste devant le banc de Miami. Les arbitres vérifieront tout de même la validité du tir, mais l'accepteront sans grande hésitation. Memphis tire donc profit de l'absence de Wade pour s'imposer sur leur parquet et ainsi infliger la 1ère défaite au Heat en 4 matchs.

James termine avec 29 points et 11 passes House réalise son career-high avec 20 points, Bosh termine également à 20 points. Zach Randolph 21 points, 13 rebonds

victoire de Memphis 97-95


- OKC @ Milwaukee

Harden est choisi pour la seconde fois de la saison dans le 5 de départ d'Oklahoma. Il réalise un très bon match, avec un record cette saison de 23 points, 9 rebonds et un total de 6 tirs convertis à 3-points.

Durant, l'actuel meilleur marqueur de la ligue NBA, était encore absent hier soir en raison de sa blessure survenue un peu avant le match de vendredi gagné sans lui à Boston. 2e match consécutif auquel il ne participe pas, ce qui ne lui est pas arrivé depuis un an et demi.

Mené de 13 points dans le 3e quart-temps les Bucks vont avoir le courage de revenir à plusieurs reprises durant le dernier quart-temps. En effet ils reviendront par trois fois dans les deux dernières minutes du match, notamment grâce à Drew Gooden qui rentre un 2-points à 1"2 de la fin (82-81). Jennings s'empresse de faire faute sur Eric Maynor qui lui s'empresse de rater ses deux lancers-francs, ce qui met Oklahoma dans une fâcheuse posture. Le tir très longue distance des Bucks sur le rebond n'aura eu aucune chance de rentrer. Le Thunder s'en sort avec une grosse frayeur et la victoire.
Gooden - 16 points - 16 rebonds
Westbrook - 18 points. Il inscrit plus de 15 points durant les 13 premiers matchs de la saison.

Victoire de Oklahoma : 82-81


Alex's time:

NYK @ LAC: superbe ambiance hier soir sur le parquet de Los Angeles. Des individualités se sont mises en avant prenant ainsi le jeu à leur compte. Pas forcément du suspense jusqu'à la fin mais un très beau spectacle.


les hommes:

Blake Griffin et Amar'e Stoudemire.
Record en carrière pour le jeune rookie Blake Griffin - 44 points et 15 rebonds, un match énorme de la part du joueur des Clippers qui a très clairement trouvé sa place dans le collectif de Los Angeles. Il joue d'ailleurs 38'58 hier soir, preuve de son importance à l'intérieur. Il faut absolument regarder sa performance. Je crois qu'on a pas vu de Rookie plus athlétique, et explosif, depuis belle lurette. Amar'e Stoudemire a pourtant essayé de rivaliser mais il se fait tout de même dominer au cours de ce match - 39 points et 11 rebonds.


la stat:

10: le nombre de victoires consécutives des San Antonio Spurs (11-1) en cumulant les victoires à domicile et à l'extérieur. Ils égalisent d'ailleurs le meilleur départ d'une franchise en NBA: 11 victoires et une défaite.


la phrase:

"You always play your heart out and see what happens at the end, and I thought both teams did. We had a couple of runs and we prevented them from having a big run." Scott Brooks, coach d'Oklahoma City.

"Vous jouez en y mettant tout votre coeur puis vous regardez le résultat à la fin du match. Je pense que ce soir les deux équipes ont joué de cette façon. Nous avons eu quelques runs et nous avons su les empêcher d'en avoir un important, ce qui les aurait mis à l'abri" Scott Brooks


les français:

Phoenix@Charlotte: Diaw 26pts - 2 rbds - 6 ast
NYK@LAC: Turiaf 2pts - 3rbds - 4 ast
Utah@Portland: Batum 14 pts - 6 rbds
Cleveland@SAS: Parker 19 pts - 9ast - 5rbds
Orlando@Indiana: Pietrus - 3pts - 3rbds

le match de Griffin!!


Etienne - P&R

- 20 Novembre -

le match:

OKC @ Boston
Petit cérémonial pour Paul Pierce qui reçoit avant le match un ballon symbolisant le cap des 20000 points en carrière désormais dépassé pour lui.
Le Thunder mène de 10 points (77-67) vers la fin du 3e quart-temps. Pourtant Russel W pert la balle qui atterrit dans les mains de Royal Ivey, qui, de son camp, tente désespérément un tir à 3-points complètement improbable, alors que l'on arrivait au terme des 24 secondes; La balle rentre avec la planche, Royal peut sourire, cela ne lui arrivera surement pas deux fois (quel shoot Royal !). Oklahoma conserve un avantage de +9 (83-74) après que Westbrook ait transformé ses deux lancers-francs alors qu'il reste près de 7'11 à jouer dans ce match.
Pourtant OKC ne réussira pas à inscrire de nouveaux points jusqu'à ce que Westbrook ne réussisse encore deux lancers-francs (4'30 à jouer). 0 point en près de 3 minutes. On sait que l'équipe de Boston est très rugueuse en défense, avec Shaq, Davies, ou Garnett. KG qui est sortit après avoir reçu un énorme coup sur l'arrière du crâne, il s'en sortira avec une énorme bosse. Pendant cette non-période du Thunder, les Celtics reviennent dans la course grâce à des tirs longue distance. C'est un "one-point game" à 13"4 de la fin du match.
Westbrook transforme 11 de ses 13 lancers-francs mais il manque ses sept tentatives mi-distance durant le 4e quart-temps. Le Thunder manque quant à lui ses 13 dernières tentatives au shoot, n'inscrivant aucun panier (hormi des lancers-francs) durant les 9 dernières minutes du match.
R. Westbrook: 31 points 8 passes
Krstic et Garnett out durant le match
Rajon Rondo: petit match à 14 points et 7 passes

Victoire de OKC 89 - 84, infligeant ainsi sa première défaite aux Celtics sur leur parquet cette saison. 3e victoire de rang pour OKC.


Alex's time:

NY @ GSW
match de folie hier soir. Deux équipes se sont défoncées sur le parquet des Golden State Warriors. A regarder.


Le joueur:

Tim Duncan
L'intérieur des Spurs, connu pour son fameux shoot sur la planche, est devenu le meilleur marqueur de tout les temps au sein de la franchise du Texas. Il passe ainsi devant David "The Admiral" Robinson, le mythique (et retiré) numéro 50 de San Antonio. Duncan inscrit donc une deuxième fois son nom dans le palmarès et la légende de la franchise, après avoir remporté le titre 3 fois.


La stat:

93:
C'est le nombre de matchs d'affilée auxquels a participé Kevin Durant. KD a joué les 82 matchs de son équipe l'année dernière, ainsi que les 11 premiers matchs cette saison. Hier soir c'était sa première absence depuis plus d'un an.


La phrase:

"We're not used to finishing games without Kevin Durant, Russell had to do it. It showed a lot about our team. It definitely gives confidence to a lot of guys." Thabo Sefolosha

"Nous ne sommes pas habitués à terminer les matchs sans KD, Russell (Westbrook) a du faire avec. Cela a permis de montrer beaucoup de choses à propos de notre équipe. Incontestablement cela a donné confiance à beaucoup de joueurs."

Tous les Résultats:




Etienne - P&R

Like A Bosh !

Tiens, ça c'est pour les fans de Bosh. Ou pas.

"you thought it was gonna be awesome, you get it and it sucks"



- "Hum, it works.
- Guess you've overreacted, typical".

Jb - P&R

- 19 novembre -

le match:

Denver @ Portland:
les Blazers recevaient des Nuggets déjà depuis deux matchs (deux défaites) sur les routes américaines. Brandon Roy était sur la liste des inactifs, blessé, tout comme Greg Oden. Un petit mot sur lui: ça n'a échappé à personne, le géant, n°1 de la draft 2008, doit subir une opération pour une micro-fracture au genou. Troisième opération à ce niveau du corps, 82 matchs joués depuis son arrivée à Portland, les Blazers ont été très patients avec lui. La semaine dernière, ils hésitaient encore à prolonger son contrat, attendant pour cela de jauger son retour à la compétition. Mais le corps n'a pas suivi, et Oden devra rester toute la saison à l'infirmerie. Autant dire que pour lui, c'en est finit de son contrat, de sa carrière peut-être même.
Quoi qu'il en soit, il y avait un match cette nuit. Wes Matthews remplace Roy dans le 5 de départ, dans lequel on retrouve aussi Batum. En face l'équipe est au complet, Al Harrington doit se faire à son nouveau rôle: sortir du banc et amener des points. C'est Shelden Williams qui débute le match à sa place.
Anthony distribue le jeu, car la défense de Portland procède en prise à deux sur lui. Il trouve Nêne, ou le rookie Forbes, auteur d'un bon début de saison. Les Nuggets (quand même, ce nom...) enchaînent avec un 17-0 dans le premier quart, et les Blazers recollent au score juste après la pause. Wes Matthews, après trois minutes dans le 2e quart, plante deux tirs longue distance, et permet à Portland d'être à -1. Grosse ambiance dans cette salle de la côte nord-ouest des USA, Matthews enflammant et chauffant son public. 45-43 à la mi-temps pour Denver, les Blazers s'en sortent bien (le nombre de rebonds offensifs est impressionnant: 16, contre 7 pour Denver).
En trois minutes, Denver colle un 8-0 et +10 (55-45)... Il y a de quoi être désespéré dans le public. Les bleus-et-jaunes de Denver s'enflamment, Billups, Anthony, Afflalo scorant chacun leur tour. Leur jeu est très bien rôdé, et leurs deux précédentes défaites "on the road" les motivent. Preuve d'un interminable chassé croisé, Portland repasse devant dans ce même quart-temps, 62-60, grâce à un trois points de Nicolas Batum, face au panier, "nothing-but-net".
Il est facile de remarquer pendant ce match un manque complet de concentration de Carmelo Anthony, surtout surtout défensivement. Il fait 6 fautes, dont trois idiotes, et se fait prendre plusieurs fois au rebond, car il ne pose pas d'écran-retard. Sa 6e faute arrive à 4 minutes du terme, Portland est à +7, et sur une pénétration, un spin-move, il envoie Batum au tapis avec un coup de coude. Ça le fait rire. Les Nuggets s'en sortiront aussi bien sans lui, recollant à trois points grâce à un lay-up de Nêne "and-one". Après une bonne défense, et Billups, et Afflalo, ratent leur trois-points pour égaliser et Portland inflige à Denver sa 3e défaite à l'extérieur consécutive.
Anthony: 18 points, 8 rebonds
Afflalo: 16 points, 11 rebonds,
Batum: 14 points, 6 rebonds
Matthews: 20 points, 10 rebonds

Score final: 86-83


le joueur:

LaMarcus Aldridge:
C'est en leader qu'Aldridge se préparait pour se match, Brandon Roy étant blessé, et les Blazers n'utilisant que 8 joueurs pour les 48 minutes. Il n'a pas déçu et présente une ligne de 24 points et 10 rebonds.


la stat:

19.6:
pourcentage cette année à 3-points d'Eric Gordon. C'est un drame pour son équipe des Clippers, qui enchaîne elle sa 8 défaite de rang. L'arrière a été parfaitement muselé cette nuit par la défense des Pacers d'Indiana. Il est en baisse de 14 % par rapport à son pourcentage en carrière.


la phrase:

"Everything on that team revolves around Steve Nash, so they didn't have him tonight and they struggled." Stan Van Gundy. Le coach du Magic d'Orlando a bien raison. Son équipe écrase Phoenix, qui faisait sans Nash pour la soirée. Avec Dragic à la mène, aussi talentueux soit-il, ce n'est plus du tout pareil. Et Orlando l'a bien compris.


l'anecdote:

Ron Artest a déclaré hier vouloir jouer en NFL après sa carrière NBA. Véridique.

- 18 novembre -

le match:

Phoenix @ Miami:
Avec deux équipes qui jouent en "run-and-gun", il y avait des attentes de spectacle. ESPN avait choisi de retransmettre le match, permettant à un plus grand nombre d'internautes à avoir accès à cette confrontation. Chris Bosh est tellement énervé qu'il met 14 points dans le premier quart, LBJ et D.Wade se contentant de lui donner toutes les balles qu'ils ont.
Dans le deuxième quart-temps, ce sont, comme le dit le commentateur, les LeBron Heat, comme du temps des Cavs. Il décide de prendre tout ce qui passe, Wade et Bosh étant sur le banc. Bingo, il enquille 8 points d'affilée et c'est à ce moment précis que les Suns commence à être largués. Nash fait ce qu'il peut, bien aidé par Frye, ou parfois Richardson, mais l'équipe n'est pas assez défensive pour espérer imposer des "stops" à son adversaire du soir.
Après une deuxième mi-temps à sens unique, le Heat s'impose dans sa salle contre le finaliste de la conférence Ouest 2010.
Wade: 17 points, 6 rebonds, 6 passes.
James: 20 points, 8 rebonds, 9 passes.
Nash: 17 points, 2 passes (plus faible total de passes en 141 matchs).


Alex's time:

les plus beaux matchs à regarder cette nuit ?
NY @ Sacramento
LAC @ Minnesota


le joueur:

Chris Bosh:
Il s'est énervé. Dans le premier quart-temps, il est à 5/6 au shoot. Il finira le match avec 35 points à 12/17, 6 rebonds et 4 passes. Il a surtout le mérite de montrer, et à ses coéquipiers, et aux fans, et aux analystes, que ce n'est pas qu'un pantin. reste à continuer sur cette voie.


la stat:

8:
les victoires consécutives de San Antonio. Ils tapent cette nuit (à domicile) Chicago. Le club texan fait un super début d'année, mettant un peu de côté Tim Duncan, pour se reposer sur Parker, Jefferson et Ginobili. Ils sont donc premiers de la ligue, avec NOH, à 9v.-1d. Olivier tu peux être content. Mais ça ne va pas durer.


la phrase:

"We're a young team and one minute we're playing hard, the next minute we're terrible." D.Cousins. Le rookie de Sacramento s'exprime après la défaite contre NY. Ils ont en effet joué au yo-yo durant tout le match, ne pouvant contenir la remontée des Knicks.

- 17 novembre -

le match:

Lakers @ Milwaukee:
les champions ont perdus deux fois ces deux derniers matchs. 239 points encaissés pendant ces deux matchs. A domicile contre Phoenix et à Denver. Ils prenaient donc l'avion vers Milwaukee, petite ville (à l'échelle américaine) du Wisconsin, dans les grandes plaines de l'Est. Le match promet d'être intense car, opposés à l'armada californienne, les Bucks proposent un jeu fluide, qui se repose sur la relation entre Bogut et Jennings et sur une défense implacable (deuxième de la ligue, 89 points encaissés par match avant cette nuit). Les Lakers sont sous la pression que l'on met sur les épaules du champion à chaque défaite, et dès leur descente de l'avion ils sont conscients de leur tâche difficile: battre Milwaukee chez eux.
Et dans le premier quart, c'est Kobe qui prend les rênes de sa franchise, en inscrivant 10 points en douze minutes. Souvent en oubliant ses coéquipiers certes, mais en cherchant la percussion, ce qui, et il faut le souligner, est rare depuis le début de saison. En face, c'est Jennings qui répond, lui aussi avec 10 points. C'est un duel des "meneurs" (Fisher était un peu effacé cette nuit, Bryant a pris la suite). Gasol contre Bogut et Odom contre Gooden, les duels sont solides et tactiques dans la première mi-temps entière. Bogut aidant en défense, présent au rebond (18), Odom et Gooden complets (22 points et 13 rebonds pour ce dernier), les équipes se valent. +2 pour les Bucks à la pause, 59-57.
Mais dans le troisième quart-temps, et l'apport des joueurs du banc, les Lakers vont s'envoler. Matt Barnes et Steve Blake remplacent respactivement Artest et Fisher, puis Shannon Brown enquille ses désormais traditionnels tirs longues distances. -11 en douze minutes, avec 33 points encaissés, les Bucks n'en mènent pas large défensivement. Ils aident sur Bryant ce qui libère sans arrêt Brown ou Blake. Leçon de tactique de Phil Jackson pour Scott Skiles.
Mais ce qui est à souligner, c'est le jeu proposé par les deux franchises cette nuit. Pas de jeu placé, ou peu, il s'agissait beaucoup de prises d'initiatives et de contre-attaques, du jeu rapide, ce que les deux équipes apprécient.
Gasol (18 points - 10 rebonds), Odom (13 points - 7 rebonds et 6 passes) et surtout Bryant (31 points - 7 passes) ainsi que Brown en sortie de banc (21 points à 7/9) ont été les principaux artisans d'un succès très collectif.
En face, Bogut (12 points - 18 rebonds), Gooden (22 points - 13 rebonds) et surtout Jennings (31 points - 6 passes) ont eux tout fait pour contrarier les Lakers. Mais sans banc, la tâche était ardue.


les joueurs:

Derrick Rose:
Un bout de temps que nous n'avons pas parlé de lui tiens. Cette nuit, il plante 33 points (17 dans le dernier quart) et délivre 7 passes décisives lors de la victoire des Bulls à Houston. 13/20 aux shoots, 4/5 à 3-points, on voit qu'il travaille tous les éléments moins influents de son jeu, comme son tir longue distance.

Landry Fields:
le rookie sort, sur sa lancée d'un excellent début de saison, le match de sa nuit: 21 points-17 rebonds. Pour un arrière, et un ailier, c'est très fort. Il rentre dans le top 4 du classement rookie.


la stat:

6:
le nombre de défaite consécutive de NY. Ils ont perdu cette nuit de deux points seulement à Denver. Pour une équipe que l'on annonçait en Playoffs, ça fait tâche, et il va falloir se réveiller vite vite vite. Peut-être cette nuit à Sacramento. Joyeux anniversaire (28 ans) Amar'e Stoudemire !


la phrase:

"Derrick was Derrick. He took control of the game. He realized what needed to be done. He started attacking. He's going north and south. Attack, attack, attack. He's impossible to guard" Tom Thibodeau, coach des Bulls

Muggsy's corner

Muggsy Bogues est le joueur le plus petit de l'histoire du basket. C'est une légende. Drafté en 1987, il ne connaitra que quatre franchises: Washington, Charlotte, Golden Sate, Toronto. Il passa la majeure partie de sa carrière aux Hornets, allant jusqu'au deuxième tour des Playoffs 93. Pour sa meilleure saison, il finira à 10.8 points et 10.1 passes par matchs. A 1m59.

- Questions classiques, mais indispensables, que l’on te connaisse ou non. Tout d’abord, quel est le meilleur souvenir de ta carrière ?

M.B. : Sans hésitation, je répondrais le tir de ‘Zo (Alonzo Mourning) en Playoffs contre les Celtics.

(premier tour en 1993, match 4 de la série. Zo est alors rookie. Il reste 3 secondes à jouer et il y a 103-102 pour Boston. Il y a un système mis en place, mais Larry Johnson ne récupère pas le ballon. Il arrive dans les mains de Mourning, qui, juste devant la ligne à 3-points, feinte le départ en dribble et pose ses appuis. Jump-shot et victoire des Hornets)

- Les amateurs se souviennent aussi d’un contre magnifique sur Patrick Ewing. Que lui as-tu dit juste après ?

M.B. : Qu’il m’avait permis de vivre mon rêve (rires) ! Grand moment aussi.

« you made my highlight real »

- Et les Hornets, quelle ambiance ?

M.B. : La folie. Je jouais avec mes deux meilleurs potes, Larry (Johnson) et Zo (Mourning). Ces deux là n’arrêtaient jamais, et dans les vestiaires ils blaguaient sans arrêt. Certainement mes meilleures années.

- Et alors, la vision du basket quand on est un si petit joueur professionnel (1m59) ?

M.B. : Je dis toujours « peu importe la taille si les pieds touchent le ciel » (« Doesn't matter height, if feet touch the sky! »). Je pouvais tout faire, sauf dunker bien sûr. On me parle souvent de Nate Robinson, mais je ne suis pas comme lui. Il est plus shooter, plus explosif, tandis que je jouais pour mes coéquipiers. Je cherchais toujours la bonne passe à faire. Il y a Earl Boykins aussi, et lui je l’admire car, comme moi à l’époque, il a une motivation de feu. Il a du cœur et de la passion pour ce qu’il fait.

- Tu n’en as pas assez que l’on parle de toi comme le joueur le plus petit de l’histoire ?

M.B. : Non, simplement parce que je répondais sur le terrain. C’est mon jeu qui parlait à ma place, et finalement si j’y suis arrivé, c’est que j’avais ce qu’il fallait pour. Je voulais prouver à tout le monde qu’ils avaient tort en me critiquant.

- Tu suis toujours le basket actuel ?

M.B. : Bien sûr ! Je regarde le plus de matchs possibles

- Un joueur préféré ?

M.B. : Non aucun, vraiment, c’est le jeu qui me plait, ce sport, cette ambiance. Donc je regarde tous les joueurs, toutes les équipes.

- Kobe ou LeBron ?

M.B. : Kobe, sans hésitation.

- Quel serait le meilleur joueur taille « small » aujourd’hui ?

M .B. : Chris Paul. J’adore le voir jouer. Et il fait une sacrée saison ! Je dois dire que si on avait échangé nos tailles avec Pau Gasol et bien je serai le joueur le plus dominant de la ligue, et sûrement de l’histoire.

- Et le meilleur « clutch shooter » ?

M.B. : Kobe aussi. C’est celui qui a le meilleur mental.

- Quelle équipe préfères-tu entre les Hornets, maintenant à la Nouvelle-Orléans, et la nouvelle franchise de Charlotte, les Bobcats ?

M.B. : Je regarde l’une puis l’autre. J’ai des attaches à Charlotte, c’est ma ville de cœur, mais après leur match, hop, je regarde Chris Paul et les Hornets.

- Et une équipe particulière dont le jeu te plait en ce moment ?

M.B. : Les Celtics. Ils sont très costauds, et Rondo est un des meilleurs joueurs de la ligue maintenant.

- Tu avais des petites routines avant tes matchs ?

M.B. : Pas particulièrement. Je prenais toujours une barre Crunch, et j’écoutais de la musique.

- Qu’écoutes-tu ?

M.B. : Du rap essentiellement. J’adore Jay-Z et Lil’ Wayne.

- Que faut-il manger avant les matchs ?

M.B. : A part le Crunch, je prenais des pâtes aux crevettes. Un régal.

- Un retour au monde pro grâce au coaching un jour ?

M .B. : Si l’occasion se présente, je fonce.

- Et tout le monde, jeunes ou moins jeunes, sait que tu as joué dans « Space Jam », avec Jordan, Barkley ou Ewing. Que peux-tu nous dire sur cette expérience ?

M.B. : J’ai adoré jouer la comédie, en plus c’était avec des potes, donc si je pouvais le refaire, je le ferai encore et encore. Super expérience !

L'histoire de Muggsy Bogues:



le contre sur Patrick Ewing avec les éloges de superstars:




Jb - P&R