le match:
Boston - Miami:
il fallait regarder cet évènement en direct. L'ambiance, l'atmosphère, la concentration était au niveau de l'attente estivale. Pas le niveau de jeu malheureusement, sauf au 4e quart-temps. Tout commence avec la présentation des joueurs et un LeBron James sûrement plus chahuté qu'à l'accoutumée. Celui-ci ne déroge pas à son rituel d'avant match, le talc lancé devant la table des officiels, et jouera toute la partie sous les huées du public, venu en très grand nombre au Banknorth TD Garden. Un pauvre premier quart nous est présenté, Wade perdant trois ballons, James prenant toutes les attaques en main. Celui là n'a pas encore compris qu'ils étaient trois maintenant. Il prend la mène, le poste d'arrière, d'ailier shooter... Histoire de mettre tout le monde à l'aise. Chris Bosh paraît bien timide à ses côtés, n'osant que très peu et attendant les systèmes du nouveau numéro 6 de Miami. Boston compte jusqu'à 17 points d'avance pendant les deuxième et troisième quart-temps. Chez eux, même si quelques approximations se sont faites sentir, on sent un effectif déjà au point, physiquement et mentalement. J'étais le premier à annoncer Shaq finit, il m'a démontré que non, en courant de tous les coté du terrain. Et quand il sort, il y a son petit frère Big Baby Davis qui le remplace. Pour Joel Anthony (starter center) et Ilgauskas, c'était trop.
4/16 pour Wade, 3/11 pour Bosh et 10/21 pour James (31 points). Il faut regarder la ligne de stats de Carlos Arroyo, meneur titulaire des Heat, pour comprendre le rôle de LeBron: 0 rbds, 0 passes, 1/3 au shoot, 3 points... Merci !
En face, 17 passes de Rajon Rondo, qui a été énorme, distribuant alley-oops sur alley-oops, et entraînant tous les Celtics en contre-attaque. S'ajoutent 20 points de Ray Allen (7/13) et 19 de Paul Pierce (3/4 à trois points).
le joueur:
Nicolas Batum:
Jusque là, le match Portland-Phoenix était ce qu'on appelle a "three-points game", l'écart étant de 3 points à 5 minutes et 44 secondes de la fin (91-88). Superbe match proposé par deux équipes en Playoffs l'année dernière. Mais c'est ici que Nate McMillan, le coach de Portland, comprend que la prise à 2 sur Marcus Camby va lui être fatal. Il fait rentrer Nicolas Batum en poste 4, en ailier fort, et tente le pari de l'"extra-pass". Ça fonctionne et les Blazers engrangent un 18-1 dans ces dernières 5 minutes. Batum en score 11, à 4/5 dont 3/4 à trois points en 4 minutes. Il finit à 19 points, assortis à 11 rebonds. Très belle rentrée en matière pour le frenchy, qui sera d'ailleurs notre meilleur représentant cette année.
la stat:
2:
Déjà, les Lakers, champions sortant et enfin affublés de leur nouvelle bague, ont battus pour leur rentrée les Rockets de Houston de deux points (112-110) grâce à un shoot longue distance du super remplaçant Steve Blake. Mais 2 surtout car les Rockets ont eu par deux fois l'occasion de remporter ce premier match. Scola rate son lay-up, mais l'équipe récupère la balle sur le rebond offensif. Il reste 2 secondes, et Houston prend le temps-mort. Au retour sur le parquet, Aaron Brooks rate son shoot, et ce sont les Lakers qui remportent la mise. A noter dans ce match les lignes de stats de Kobe (27 points, 7 passes, 5 rebonds) et de Gasol (29 points, 11 rebonds), ainsi que le retour de Yao.
l'histoire:
24 minutes.
C'est ce que jouera Yao Ming par match, et ce pendant toute la saison. C'était ça ou un arrêt de carrière. Yao sera donc limité en temps de jeu, mais apportera surtout sa taille et sa qualité de jeu à des Rockets désireux d'aller en Playoffs. Utile, non ?
Il a joué 23 minutes et 45 secondes hier. 15 secondes de moins que 24 minutes ? Oui, il s'est fait sortir pour 6 fautes. Malin. 9 points et 11 rebonds avec ça.
les phrases:
"We all know Rome wasnt built in one day." LeBron James.
"Sorry if everyone thought we were going to go 82-0. It just ain't happening." Dwyane Wade.
"Nous savons tous que Rome n'a pas été battie en un jour" James.
"Désolé si tout le monde pensait qu'on finirait à 82-0. Ça ne sera pas le cas." Wade.
Boston - Miami:
il fallait regarder cet évènement en direct. L'ambiance, l'atmosphère, la concentration était au niveau de l'attente estivale. Pas le niveau de jeu malheureusement, sauf au 4e quart-temps. Tout commence avec la présentation des joueurs et un LeBron James sûrement plus chahuté qu'à l'accoutumée. Celui-ci ne déroge pas à son rituel d'avant match, le talc lancé devant la table des officiels, et jouera toute la partie sous les huées du public, venu en très grand nombre au Banknorth TD Garden. Un pauvre premier quart nous est présenté, Wade perdant trois ballons, James prenant toutes les attaques en main. Celui là n'a pas encore compris qu'ils étaient trois maintenant. Il prend la mène, le poste d'arrière, d'ailier shooter... Histoire de mettre tout le monde à l'aise. Chris Bosh paraît bien timide à ses côtés, n'osant que très peu et attendant les systèmes du nouveau numéro 6 de Miami. Boston compte jusqu'à 17 points d'avance pendant les deuxième et troisième quart-temps. Chez eux, même si quelques approximations se sont faites sentir, on sent un effectif déjà au point, physiquement et mentalement. J'étais le premier à annoncer Shaq finit, il m'a démontré que non, en courant de tous les coté du terrain. Et quand il sort, il y a son petit frère Big Baby Davis qui le remplace. Pour Joel Anthony (starter center) et Ilgauskas, c'était trop.
4/16 pour Wade, 3/11 pour Bosh et 10/21 pour James (31 points). Il faut regarder la ligne de stats de Carlos Arroyo, meneur titulaire des Heat, pour comprendre le rôle de LeBron: 0 rbds, 0 passes, 1/3 au shoot, 3 points... Merci !
En face, 17 passes de Rajon Rondo, qui a été énorme, distribuant alley-oops sur alley-oops, et entraînant tous les Celtics en contre-attaque. S'ajoutent 20 points de Ray Allen (7/13) et 19 de Paul Pierce (3/4 à trois points).
le joueur:
Nicolas Batum:
Jusque là, le match Portland-Phoenix était ce qu'on appelle a "three-points game", l'écart étant de 3 points à 5 minutes et 44 secondes de la fin (91-88). Superbe match proposé par deux équipes en Playoffs l'année dernière. Mais c'est ici que Nate McMillan, le coach de Portland, comprend que la prise à 2 sur Marcus Camby va lui être fatal. Il fait rentrer Nicolas Batum en poste 4, en ailier fort, et tente le pari de l'"extra-pass". Ça fonctionne et les Blazers engrangent un 18-1 dans ces dernières 5 minutes. Batum en score 11, à 4/5 dont 3/4 à trois points en 4 minutes. Il finit à 19 points, assortis à 11 rebonds. Très belle rentrée en matière pour le frenchy, qui sera d'ailleurs notre meilleur représentant cette année.
la stat:
2:
Déjà, les Lakers, champions sortant et enfin affublés de leur nouvelle bague, ont battus pour leur rentrée les Rockets de Houston de deux points (112-110) grâce à un shoot longue distance du super remplaçant Steve Blake. Mais 2 surtout car les Rockets ont eu par deux fois l'occasion de remporter ce premier match. Scola rate son lay-up, mais l'équipe récupère la balle sur le rebond offensif. Il reste 2 secondes, et Houston prend le temps-mort. Au retour sur le parquet, Aaron Brooks rate son shoot, et ce sont les Lakers qui remportent la mise. A noter dans ce match les lignes de stats de Kobe (27 points, 7 passes, 5 rebonds) et de Gasol (29 points, 11 rebonds), ainsi que le retour de Yao.
l'histoire:
24 minutes.
C'est ce que jouera Yao Ming par match, et ce pendant toute la saison. C'était ça ou un arrêt de carrière. Yao sera donc limité en temps de jeu, mais apportera surtout sa taille et sa qualité de jeu à des Rockets désireux d'aller en Playoffs. Utile, non ?
Il a joué 23 minutes et 45 secondes hier. 15 secondes de moins que 24 minutes ? Oui, il s'est fait sortir pour 6 fautes. Malin. 9 points et 11 rebonds avec ça.
les phrases:
"We all know Rome wasnt built in one day." LeBron James.
"Sorry if everyone thought we were going to go 82-0. It just ain't happening." Dwyane Wade.
"Nous savons tous que Rome n'a pas été battie en un jour" James.
"Désolé si tout le monde pensait qu'on finirait à 82-0. Ça ne sera pas le cas." Wade.
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